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10 façons de réguler un cuir chevelu régraissant

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Le cauchemar de beaucoup de femmes (et d’hommes) : adolescence, hormones, nature des cheveux, tant de raisons de souffrir d’hyperséborrhée. Voici quelques conseils pour des cheveux plus légers et moins gras !

 

1) On soigne son alimentation. Comme à peu près tout ce qui est relié à notre santé, notre manière de nous nourrir joue un grand rôle dans la qualité de notre cuir chevelu. Les produits laitiers, les viandes grasses et plus généralement les aliments trop gras et trop acides contribuent à une sur-production de sébum. On ne le répètera jamais assez : cap sur les légumes.

2) On éloigne toute source de chaleur. On préfère une eau tiède à une eau chaude lors du rinçage, une chaleur moyenne lors du séchage et on minimise l’utilisation du fer à lisser. Ces pratiques font réagir le cuir chevelu et donc la production du sébum, qui le protège.

3) On ne tombe pas dans le piège du shampoing pour bébés ! Au lieu d’être « ultra-doux » comme peuvent l’indiquer les étiquettes, les shampoings pour bébés contiennent des surgraissants pour protéger les cheveux fins et le cuir chevelu délicat de nos bouts de chou ! Ce qui produit l’effet inverse sur nos cheveux d’adultes…

4) On y va mollo avec les mains. Vous pensez qu’un massage va purifier votre cuir chevelu ? Et bien non, cela va plutôt « exciter » les glandes sébacées et produire d’avantage de sébum. On mise plutôt sur des mouvements plus doux, en évitant au maximum les frictions et massages trop énergiques.

5) On y va mollo avec les mains (2). Aaah, les tics que l’on prend quand on a les cheveux longs… Toucher vos cheveux avec des mains pas toujours propres les rendra gras plus rapidement, et le « gras » que vous aurez sur les mains vous donnera de l’acné si vous vous touchez le visage. Si vous ne pouvez pas vous en empêcher (comme beaucoup d’entres nous), on les attache et on n’y pense plus.

6) On applique l’après-shampoing uniquement sur les longueurs. Ce conseil peut paraître anodin, mais il est bien trop souvent négligé. De même pour les huiles et autres soins nourrissants.

7) On lave nos accessoires de coiffure régulièrement. Et ce, même si on utilise la même brosse avant et après s’être lavé les cheveux ! Au savon de Marseille ou au shampoing, au moins une fois toutes les 2 semaines. On n’oublie pas les barrettes, pinces, chouchous…

8) On préfère un shampoing doux à un shampoing spécial cheveux gras. Ou on alterne avec un shampoing doux au pH neutre.

9) On n’exagère pas sur le shampoing sec. On croyait avoir trouvé un meilleur ami pour espacer les shampoings… mais la composition des shampoings secs s’avère plus agressive pour le cuir chevelu qu’un shampoing supplémentaire ! Ce dernier réagira plus vivement à l’action « absorbante » des shampoings secs.

10) On prend soin de notre cuir chevelu ! On élimine les produits trop agressifs de notre quotidien et on fait attention à la composition de nos shampoings.

 

Quelles sont vos astuces pour un cuir chevelu moins gras ?

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Bas les poux !

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Qui dit rentrée, dit retour à l’école et après 2 mois de vacances, on retrouve nos copains… les poux ! Une vraie galère à la maison et sur la tête de nos chérubins, mais pas que. Astuces pour s’en débarrasser.

 

Poux et lentes de tête

Trois types de poux sont à distinguer : les poux de corps, les poux de tête et les poux de pubis (dits morpions). Si le parasite adulte ne mesure qu’un petit millimètre, son « oeuf » – la lente – est, elle, plus visible. Sa ressemblance avec une pellicule et son aspect « visqueux » et bien attaché au cuir chevelu la font facilement diagnostiquer une infestation de poux !

Les poux sont friands des cheveux longs des petites filles et passent très facilement d’une tête à l’autre. En revanche, l’infestation de poux n’est pas synonyme de saleté ou de pauvreté, puisqu’ils aiment les cheveux et tous les cheveux !

 

Un cycle rapide et infernal

Ce qui rend les poux difficiles à éliminer, c’est leur cycle de vie et de reproduction très, très rapide. La femelle pou pond 5 à 10 oeufs par jour pendant 20 à 30 jours (on vous laisse faire le calcul !). Ces oeufs éclosent au bout de 7 à 10 jours et sont adultes en 10 jours. Et ainsi de suite ! D’où l’intérêt d’un traitement pour les poux et les lentes. Ainsi, non seulement les poux sont exterminés mais leurs oeufs n’auront pas l’occasion d’éclore !

Un pou a une durée de vie de 1 à 2 mois sur la tête, mais pas plus de 3 jours en dehors. Cependant, ils s’accrochent très vite et ne vous lâchent plus !

 

La puce à l’oreille

Quelques signes que votre enfant (ou vous) est peut-être infesté : il se gratte la tête, ce qui entraîne de petites lésions au niveau de la nuque, de l’arrière des oreilles et sur le cou. Ces démangeaisons sont très violentes et désagréables, surtout au début de l’infestation. C’est à ce moment-là qu’il faut être vigilant et examiner le cuir chevelu avec attention à la recherche de petit parasite gris (lorsqu’ils sont gorgés de sang) ou de petits points blancs qui ne se détachent pas (lentes).

 

A l’attaque !

Une fois le diagnostic prononcé, il est temps de passer au plan d’attaque : shampoings et soins anti-poux et anti-lentes, mais aussi brossage des cheveux méticuleux à l’aide d’un peigne aux dents très rapprochées afin de retirer tous les parasites et leurs oeufs. Ensuite, par mesure de précautions – car les poux sont mieux sur les cheveux que sur vos linges – on lave les draps, le doudou et les chapeaux / bonnets. Mais en principe, peu résistent plus de quelques heures à l’air libre. On peut néanmoins limiter leur prolifération grâce à un spray aux propriétés anti-poux et anti-lentes.

Enfin, il faut prendre son mal en patience : le cycle des poux est tellement rapide qu’une fois ne suffira pas à tous les retirer ! Il faut être scrupuleux lors du brossage des cheveux et utiliser les bons produits.

 

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Chute des cheveux : on fait le point

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Mal vécue par ceux qui en souffrent, l’alopécie n’est pourtant pas si rare ! Depuis des millénaires, on la combat avec ardeur à grands renforts de salive de cheval ou de toiles d’araignée sur le crâne… Heureusement, en 2015, on en a une approche un peu moins aventureuse…

 

Zoom sur votre tête

Vos cheveux – ils sont au nombre de 100 000 à 150 000 – ont une durée de vie en 3 étapes : la croissance, qui dure de 2 à 5 ans, la stagnation, qui dure quelques semaines et la « mort » de la racine, qui ne tombe que quelques mois plus tard. Toute la partie visible est en fait… biologiquement morte !

Nous perdons environ 40 à 80 cheveux par jour, voire un peu plus pendant les changements de saison, et particulièrement à l’automne. C’est ainsi que notre cycle pilaire se renouvelle durant toute la durée de notre vie.

 

Perte des cheveux : quand s’inquiéter

Peut-être avez-vous remarqué plus de cheveux que d’habitude au fond de la baignoire, lors de votre dernier shampoing. Pas de panique, c’est peut-être simplement une période un peu plus stressante pour vous et c’est de cette façon que votre corps vous le communique !

 

Comment reconnaître une chute de cheveux réactionnelle, d’une progressive ?

Cela fait plus de 6 mois que cela dure, vous avez la sensation que votre cuir chevelu est clairsemé, néanmoins vous connaissez le phénomène puisque votre famille présente des antécédents d’alopécie : c’est une chute progressive, aussi appelée androgénétique héréditaire. Elle touche 70% des hommes et peut commencer dès 20 ans.

Cela fait moins de 3 mois que vous l’avez remarqué, vous retrouvez soudainement des cheveux un peu partout (taie d’oreiller, douche, vêtements) et avez l’impression d’en perdre plus qu’à l’accoutumée : c’est une chute réactionnelle, dite « aigûe ». Il s’agit d’une réponse physique à un stress, une carence ou une intervention étrangère.

 

A partir de quand cela relève-t-il de la pathologie ?

Outre ces 2 premiers types (les plus fréquents), l’alopécie peut également être localisée (brûlure, parasites), congénitale (absence ou malformation de la cellule) ou encore areata (forme auto-immune). Si vous relevez une perte de plus de 100 cheveux par jour pendant une longue période (jusqu’à 2 mois), il est temps de consulter votre dermatologue.

 

Les bons réflexes quotidiens

Selon votre type d’alopécie, il convient de choisir un traitement adapté : homéopathie, phytothérapie, huiles essentielles, compléments alimentaires ou encore traitements médicamenteux plus ou moins controversés. Bien entendu, les conseils de votre dermatologue vous aiguilleront au mieux.

En attendant, plusieurs habitudes quotidiennes peuvent améliorer votre condition pilaire :

Un shampoing tout doux

Le cuir chevelu joue un rôle important dans le processus de chute des cheveux, le chouchouter est donc indispensable. On opte pour un shampoing doux, sans agents lavants agressifs, parabens, silicones, ni sulfates, bio de préférence ou en tout cas le plus naturel possible. Ça mousse moins, mais ça fait du bien ! On y va mollo aussi sur le shampoing sec, pratique mais pas très apprécié de notre cuir chevelu sur la durée…

Après la douche

Un shampoing doux, c’est bien. Un brossage délicat et un sèche-cheveux pas trop chaud, c’est encore mieux ! Les modifications que l’on apporte à nos cheveux (couleurs, mèches, brushing, lisseur, coiffures tressées ou trop tirées…) les fragilisent considérablement et peuvent mener à leur chute prématurée.

On surveille son assiette

Ce n’est pas un secret, l’alimentation influence de nombreuses facultés de l’organisme. Les anémies causées par les dérèglements hormonaux (chez les femmes) ou la trop grand consommation de thé (et oui !) entraîne un ralentissement de la reproduction des cellules du cheveu. On ne lésine pas sur la viande, la volaille et les aliments riches en vitamine C, qui favorise l’absorption du fer.

Le magnésium quant à lui, active la vitamine B, stimulante pour la kératine : on mise donc sur les légumes verts, les légumes secs, les céréales complètes et le chocolat.

Le zinc participe à l’alimentation du follicule pileux et à sa protection contre les déchets cellulaires, on privilégie alors les graines de sésame, les crustacés et les germes de blé.

 

astuce de pro!

Contre les cheveux ternes qui ont tendance à déserter, on mise sur un massage du cuir chevelu à effectuer au quotidien (ou mieux : à se faire faire !). Vous assouplirez votre cuir chevelu, débloquerez ses micro-tensions musculaires et favoriserez le flux du sang vers les racines. Cette petite gymnastique va fortifier vos cheveux et stimuler leur repousse !

 

Comment procéder ?

Effectuez lentement des mouvements de rotation avec la pulpe de vos doigts, sur l’ensemble de la tête, dans le sens de la circulation sanguine : de la nuque vers le sommet, puis des oreilles vers le sommet. Insistez sur la zone frontale et le dessus du crâne. Terminez votre massage par des pressions,  les deux mains bien à plat sur votre cuir chevelu.

 

Une à deux fois par semaine je vous recommande également d’utiliser Complexe 5 de Réné Furterer avant votre shampoing. En complément de votre auto-massage, ce véritable soin 100% naturel à base d’huiles essentielles va multiplier par 10 la pénétration des actifs de votre shampoing, compléments alimentaires cheveux  et/ou ampoules antichutes.

Par ailleurs, il est important d’adapter votre shampoing à votre cuir chevelu (gras, sec, pellicules grasses ou sèches, sensible…) et un soin après-shampoing adapté à vos cheveux !

 

Cette petite routine massage est à mettre en place dès la rentrée, moment où vos cheveux ont particulièrement besoin que vous vous occupiez d’eux. Sans oublier que si vos cheveux ont tendance à tomber en automne, ces massages stimuleront leur repousse.

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Sources : WikipédiaTop Santé / Medisite.

Le Monoï se révèle !

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Star de l’été, il nous envoûte de ses fragrances de tropiques et de plages paradisiaques. Mais qu’a-t-il vraiment à  nous offrir ? Flash sur le Monoï.

 

Tahiti pour terre natale

Le monoï – « huile sacrée » en tahitien – est un savant mélange de l’huile extraire de la pulpe de coco séchée (coprah) et de fleurs de Tiaré, poussant dans le Pacifique Sud. La Polynésie française est donc le berceau de cet élixir de beauté, premier cosmétique à détenir l’appellation d’origine. On lui attribue une histoire vieille de 2000 ans et ses propriétés sont depuis toujours appréciées de tous.

 

Ses vertus exquises

Les tahitiens l’utilisent dès le plus jeune âge pour ses propriétés relaxantes : les mamans massent le dos des bébés pour les calmer et les endormir. Ses propriétés hydratantes sont également plébiscitées lors des soins des fameux tatouages polynésiens.

En Europe, le Monoï est souvent utilisé à tort comme activateur de soleil, à l’image d’une graisse à traire par exemple. Or sa vertu principale est l’hydratation de la peau et des cheveux, période d’exposition au soleil ou non ! Sur cheveux et peau humides, on la fait pénétrer en frottant et on laisse les cheveux s’en imprégner pendant 12 heures avant le shampoing.

Son parfum suave et enivrant en fait une huile de massage délicate, et il fait des merveilles sur les vergetures.

 

Quelques précautions

Pour que le Monoï ne soit qu’une source de plaisir, il existe quelques précautions à appliquer. Lors des 12 heures d’application sur les cheveux, ne vous exposez pas au soleil, sous peine d’abîmer vos cheveux – voire même de les brûler !

Il est important de savoir que le Monoï ne protège pas contre les UVA et UVB. Il est donc recommandé aux personnes à peau claire de ne pas l’utiliser sans protection solaire adaptée et de manière générale, d’attendre que la peau soit déjà hâlée.

Sachez qu’en dessous de 24°C, le Monoï se solidifie : c’est tout à fait normal et ça n’altère en rien ses propriétés et son efficacité. Pour qu’il retrouve son état liquide, il suffit de l’exposer à une source chaude (eau, sèche-cheveux…).

Enfin, lors de la sélection de votre Monoï, veillez à ce que l’appellation d’origine soit mentionnée : ce n’est pas obligatoire pour les marques mais c’est toujours un plus.

 

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Les compléments alimentaires décortiqués !

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Un régime alimentaire normal fournit les nutriments nécessaires au bon fonctionnement du corps humain. Mais dans certains cas, un petit coup de pouce est nécessaire. C’est à ce moment que les compléments alimentaires viennent à la rescousse des petites carences.

 

Quoi ?

Les compléments alimentaires représentent une source supplémentaire de vitamines, minéraux et plantes. Ils peuvent être trouvés sous formes de gélules, pastilles, comprimés, pilules ou encore de poudres, d’ampoules de liquides ou de flacons à compte-gouttes. Leur composition est règlementée et contrôle par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) afin de ne contenir que des nutriments conformes à la santé.

 

Pour qui ?

La consommation des compléments alimentaires est en grande progression chez les Français. Pourtant, seuls les bébés, enfants et femmes enceintes en ont un réel besoin. En effet, au début de la vie, la vitamine D est le nutriment manquant en plus grande quantité et ne peut être comblé par une alimentation normale.

Par ailleurs, les femmes ont un besoin en fer plus élevé de 77% par rapport aux hommes, notamment à cause des menstruations et des accouchements, mais aussi en calcium, lors de la ménopause. Elles auront alors besoin de compléter leurs apports avec des compléments alimentaires.

Enfin, les végétariens et végétaliens, dont les apports en protéines par exemple sont déficients, ont souvent recours à des compléments alimentaires afin de combler les carences provoquées par leur choix alimentaires.

 

Quand et comment ?

De manière générale, la recommandation numéro 1, c’est de consulter un médecin avant toute prise de complément alimentaire. En avez-vous vraiment besoin ? Pouvez-vous les retrouver dans des aliments classiques ? Quels compléments pour quelles carences ? La prise excessive peut s’avérer nuisible et constituer des problèmes supplémentaires !

Il est également conseillé d’éviter une consommation prolongée et de surveiller les effets secondaires. Enfin, il est bon de rappeler qu’une alimentation saine et variée est votre meilleur allié contre les carences en tout genre !

 

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Sources: ANSES et Wikipédia.